Lebulletin de paie dĂ©matĂ©rialisĂ© doit comporter les mĂȘmes mentions obligatoires que la fiche de salaire en version papier. Parmi les mentions obligatoires du bulletin de salaire, il est possible de citer : L’identification de
Question Mon ancien employeur n’a pas versĂ© les cotisations de retraite. Quelles dĂ©marches effectuer pour rĂ©gulariser cette situation et valider mes droits Ă  retraite ? Par Arthur RĂ©ponse Si votre employeur a prĂ©levĂ© les cotisations sur votre salaire, et que ces cotisations dues pour la retraite figurent sur vos fiches de paie, vous pourrez obtenir la validation gratuite des trimestres ou des points de retraite complĂ©mentaire correspondant. La prĂ©sentation de vos bulletins de paie vous permettra de justifier de ces prĂ©lĂšvements. D’oĂč l’importance de conserver tous ses bulletins de salaire. Vous devez prendre contact avec votre caisse de retraite concernĂ©e et lui demander comment rĂ©gulariser vos droits Ă  la retraite. Le plus souvent, elle vous demandera la prĂ©sentation des originaux de vos bulletins de salaire. Une procĂ©dure de rĂ©gularisation des cotisations arriĂ©rĂ©es Dans le cas oĂč aucune cotisation retraite n’a Ă©tĂ© prĂ©levĂ©e sur votre salaire et ne figure pas sur votre feuille de paie, une demande de rĂ©gularisation de cotisations arriĂ©rĂ©es doit ĂȘtre prĂ©sentĂ©e. Si vous pouvez contacter votre ancien employeur, vous pouvez lui demander de rĂ©aliser une rĂ©gularisation en votre nom, c’est-Ă -dire d’effectuer le versement des cotisations qu’il aurait dĂ» verser. Mais celui-ci n’a pas d’obligation. Si votre employeur refuse, ou si l’entreprise n’existe plus, vous pourrez rĂ©gler vous-mĂȘme les arriĂ©rĂ©s de cotisation pour valider vos droits Ă  la retraite pour la pĂ©riode correspondante. Vous devez adresser une demande Ă©crite Ă  votre caisse de retraite. Le montant des cotisations est Ă  rĂ©gler en une seule fois. Ces cotisations sont dĂ©ductibles de votre revenu imposable.

1 Traitement et conservation des fonds : Assurer l’inventaire, le tri, le classement, l’indexation et le conditionnement des fonds photographiques et audiovisuels,Piloter la politique de

La mise en place d’un cadre rĂ©glementaire de protection des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel avec le RGPD, acronyme de rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es, oblige chaque citoyen europĂ©en Ă  le respecter. Les entreprises n’échappent pas Ă  cette rĂšgle. En tant qu’employeur, vous devez donc appliquer le RGPD tout au long du processus de paie. Toutefois, il n’y a aucune mention liĂ©e au RGPD Ă  faire apparaĂźtre sur le bulletin de paie. En tant qu’employeur vous souhaitez vĂ©rifier que l’élaboration de la paie est bien en conformitĂ© avec le RGPD. PayFit vous que le RGPD ?Quelles sont les finalitĂ©s du RGPD dans l’élaboration du bulletin de paie ?Quelles sont les informations sensibles en lien avec le RGPD sur le bulletin de paie ?Comment veiller au respect du RGPD sur le bulletin de paie ?Quelles sont les sanctions encourues en cas de non-respect du RGPD par l’employeur ?Les mesures correctricesLes sanctions administrativesLes sanctions pĂ©nalesQu’est-ce que le RGPD ? Le RGPD est un rĂšglement europĂ©en qui encadre le traitement et la circulation des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel. ConcrĂštement, ce rĂšglement oblige les personnes qui traitent des donnĂ©es nom, prĂ©nom, numĂ©ro de sĂ©curitĂ© sociale, numĂ©ro de piĂšce d’identitĂ©, etc. Ă  veiller Ă  leur protection afin de renforcer les droits des personnes. Ainsi, chaque entreprise qui utilise des donnĂ©es personnelles, et donc ici les donnĂ©es de ses salariĂ©s, doit veiller au respect du RGPD. Les donnĂ©es personnelles d’un salariĂ© sont toutes les informations sur son identitĂ© personnelle nom, adresse, etc mais Ă©galement toutes les informations relatives Ă  son poste de travail, Ă  sa rĂ©munĂ©ration, etc. En tant qu'employeur, vous devez donc veiller au respect du RGPD dans les bulletins de paie et lors de leur Ă©laboration. Quelles sont les finalitĂ©s du RGPD dans l’élaboration du bulletin de paie ? Dans le cadre de la gestion de la paie, le dirigeant d’une entreprise est obligĂ© de traiter certaines donnĂ©es personnelles de ses salariĂ©s pour La gestion des rĂ©munĂ©rations et les formalitĂ©s administratives qui en dĂ©coulent, comme la date de paiement du salaire ; L’organisation du travail, notamment le planning de travail ; La gestion des aides sociales ; La formation. Attention la CNIL Commission nationale de l’informatique et des libertĂ©s prĂ©cise que le traitement des donnĂ©es d’une personne doit toujours “rĂ©pondre Ă  un objectif prĂ©cis et ĂȘtre justifiĂ© au regard des missions et des activitĂ©s de l’organisme.” En effet, la CNIL et le RGPD, Ă  des fins RH, imposent aux employeurs des secteurs privĂ©s ou publics de le respecter. Exemple un employeur ne peut pas Ă©changer ou vendre les numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone de ses salariĂ©s Ă  d'autres entreprises, y compris s’il s’agit de partenaires commerciaux, Ă  des fins de dĂ©marchage tĂ©lĂ©phonique. En effet avec le RGPD, l’employeur ne peut utiliser les donnĂ©es liĂ©es au bulletin de paie de ses salariĂ©s que pour organiser le travail et gĂ©rer la sont les informations sensibles en lien avec le RGPD sur le bulletin de paie ? 💡Bon Ă  savoir en tant qu’employeur, vous ĂȘtes autorisĂ©s Ă  stocker les donnĂ©es personnelles d’un salariĂ© uniquement lorsque le contrat de travail est officiellement signĂ©. Lors de l’émission du bulletin de paie, la CNIL, pour les donnĂ©es personnelles d’un salariĂ©, considĂšre que toutes les informations qui permettent de l’identifier doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©es par l’employeur au regard du RGPD. C’est notamment le cas de Son identitĂ© nom et prĂ©nom ; Sa date de naissance ; Son adresse postale ; Son NIR ou NTT autrement appelĂ© numĂ©ro de SĂ©curitĂ© sociale ; Son poste ; RGPD dans un bulletin de paie concerne Ă©galement toutes les informations relatives Ă  la rĂ©munĂ©ration du salariĂ©, comme notamment Ses primes ; Ses congĂ©s payĂ©s ; Son taux d’imposition relatif au prĂ©lĂšvement Ă  la source ; Ses absences ou arrĂȘts maladies ; Ses avantages en nature ; que c'est devenu la norme, on assiste indĂ©niablement Ă  une gĂ©nĂ©ralisation du bulletin de paie dĂ©matĂ©rialisĂ©. 💡Bon Ă  savoir il peut ĂȘtre utile de mettre en place un coffre-fort Ă©lectronique pour stocker les bulletins de paie dĂ©matĂ©rialisĂ©s et ainsi crĂ©er un espace personnel et sĂ©curisĂ© pour le salariĂ©. Vous devez sensibiliser vos salariĂ©s au RGPD, notamment sur le bulletin de paie car c’est un document personnel et confidentiel. D’ailleur, le bulletin de salaire doit faire l’objet d’un traitement spĂ©cifique notamment lors de sa transmission au salariĂ©. Dans ce sens, lors de l’édition de la fiche de paie bulletin de paie version papier, ou bulletin de paie par mail, le RGPD doit ĂȘtre respectĂ©. En effet, sa durĂ©e de conservation doit ĂȘtre prĂ©cisĂ©e au salariĂ© ainsi que les diffĂ©rents traitements possibles des donnĂ©es. Le salariĂ© doit ĂȘtre conscient de votre politique RGPD concernant la gestion de la paie. A ce titre, vous devez l’informer de la finalitĂ© de la collecte des informations et de l’exploitation de ces derniĂšres. Afin de veiller au respect du RGPD dans l’élaboration du processus de paie, il est important de respecter plusieurs Ă©tapes Étape 1 prĂ©ciser au salariĂ© La durĂ©e de conservation de ses donnĂ©es personnelles ; Les diffĂ©rents traitements de ses donnĂ©es personnelles. Étape 2 informer le salariĂ© de la communication de ses donnĂ©es personnelles pour permettre la gestion par l’entreprise de son personnel et la gestion de la paie ainsi que pour toutes les communications internes Ă  l’entreprise. Il s’agit gĂ©nĂ©ralement d’insĂ©rer une clause de donnĂ©es personnelles dans le contrat de travail. Étape 3 crĂ©er un accĂšs sĂ©curisĂ© pour que les personnes habilitĂ©es puissent accĂ©der aux donnĂ©es en toute sĂ©curitĂ©. Étape 4 informer les salariĂ©s sur l’identitĂ© des personnes habilitĂ©es Ă  consulter ou Ă  traiter leurs donnĂ©es personnelles. Quelles sont les sanctions encourues en cas de non-respect du RGPD par l’employeur ? Si vous ne respectez pas le RGPD dans le cadre de l’élaboration de la paie, vous encourez diverses sanctions Les mesures correctrices En cas de non-respect du RGPD, vous pouvez ĂȘtre rappelĂ© Ă  l’ordre par la CNIL, notamment par Un simple avertissement ; Une mise en demeure ; Une obligation de rectification ou d’effacement ; sanctions administratives Si vous ne rĂ©parez pas vos erreurs et que vous persistez Ă  ne pas respecter le RGPD sur les bulletins de paie, alors l’entreprise risque des amendes administratives. Les sanctions pĂ©nales Pour les violations les plus graves dĂ©tournement des donnĂ©es personnelles ou collecte illicite, vous risquez des sanctions pĂ©nales Amende de 300 000 € ; 5 ans de prison. Envie de gagner du temps sur la paie ?Pour aller plus loin..CRDS cadre et assujettissement La CRDS est une mesure connue par toutes les entreprises, mais son fonctionnement peut sembler complexe Ă  comprendre. DĂ©cryptage avec PayFit. Cotisation CET dĂ©finition et mode d'emploiEn paie, il existe une contribution dont la gestion peut poser des soucis d'interprĂ©tation la contribution d’équilibre technique CET. PayFit vous explique. Assurance vieillesse rĂ©gimes et taux de cotisationVous souhaitez en savoir plus sur l’assurance vieillesse ? Entre plafond et taux, PayFit vous Ă©claire sur ce dispositif. DSN et comptabilisation quelles sont les rĂšgles ? La DSN constitue parfois une Ă©tape clĂ© dans la comptabilisation. Il est donc important de maĂźtriser son processus. PayFit vous explique les dĂ©marches. Comptabilisation de la provision de prime de fin d'annĂ©eVous prĂ©voyez Ă  l’avance de verser une prime de fin d’annĂ©e ? PayFit vous explique les diffĂ©rents traitements comptables Ă  rĂ©aliser. CSG-CRDS dĂ©finition, conditions et modalitĂ©sVous ĂȘtes redevable de la CSG-CRDS et souhaitez vous en acquitter ? PayFit vous explique toutes les conditions et modalitĂ©s.
Sil'employeur transmet les bulletins de salaire de façon dĂ©matĂ©rialisĂ©e, il se doit alors de laisser cet accĂšs libre pour une durĂ©e de 50 ans. Exemple de bulletin de paie 2022 pour un non cadre. Calcul de la base de CSG. Sur ce bulletin de paie ci-dessus, le salaire brut est de 1 932,12€. Il n'y a pas cotisation patronale mutuelle ou Bonjour,Je suis salariĂ© en CDI depuis bientĂŽt 3 ans d'une entreprise de presse, en tant que journaliste. De fait, ma convention collective me donne droit Ă  une prime de 13e mois qui doit, selon ma convention collective, m'ĂȘtre versĂ©e fin employeur ne me l'ayant toujours pas versĂ©e, je lui ai envoyĂ© une lettre recommandĂ© avec A/R le mettant en demeure de rĂ©gulariser cette l'impossibilitĂ© de me payer, il m'a nĂ©anmoins Ă©tabli une fausse fiche de paie pour le mois de fĂ©vrier 2015 dans laquelle est mentionnĂ© que j'ai bien Ă©tĂ© payĂ© de mon 13e doute Ă©videmment que cela soit lĂ©gal. DĂšs lors, est-ce qu'il m'est possible d'en rĂ©fĂ©rer aux prud'hommes et que risque mon employeur en agissant de la sorte ?Merci par avance ! Laconservation des bulletins de paie Ă©lectroniques peut Ă©galement ĂȘtre assurĂ©e par des tiers de confiance qui apportent une valeur juridique aux documents conservĂ©s. Il s’agit d’archiveurs certifiĂ©s agréés qui se sont vus attribuer la marque NF et qui rĂ©ponde Ă  la norme NF Z42-013 (au niveau international sous la rĂ©fĂ©rence ISO 14641-1 depuis dĂ©but 2012).
Dans le cadre de la gestion du recrutement, de la paie ou des carriĂšres, employeurs et recruteurs ont frĂ©quemment recours aux moyens informatiques. Ces outils contiennent de nombreuses informations concernant les candidats ou les employĂ©s. Quelles informations peuvent ĂȘtre utilisĂ©es ? Dans quel cadre les utiliser ? Combien de temps les conserver ? Quel type de traitement est interdit ? Le contenu de cette page est obsolĂšte et est en cours de mise Ă  jour. Quelles informations ? Pour quoi faire ? Dans le cadre d’un recrutement, les donnĂ©es collectĂ©es ne doivent servir qu’à Ă©valuer la capacitĂ© du candidat Ă  occuper l’emploi proposĂ© qualification, expĂ©rience, etc.. Il est interdit de demander Ă  un candidat Ă  un emploi son numĂ©ro de sĂ©curitĂ© sociale. Il est Ă©galement interdit de collecter des informations sur ses parents, sa fratrie, ses opinions politiques ou son appartenance syndicale. À l’embauche du candidat, l’employeur pourra collecter des informations complĂ©mentaires. Outre celles nĂ©cessaires au respect d’une obligation lĂ©gale exemple dĂ©clarations sociales obligatoires, l’employeur peut collecter des informations utiles Ă  la gestion administrative du personnel par exemple, type de permis de conduire dĂ©tenu ou coordonnĂ©es de personnes Ă  prĂ©venir en cas d’urgence, Ă  l’organisation du travail par exemple, photographie facultative de l’employĂ© pour les annuaires internes et organigrammes, Ă  l’action sociale prise en charge par l’employeur par exemple, les informations concernant les ayants- droit de l’employĂ©. Les zones commentaires » qui enregistrent des apprĂ©ciations d’un employeur sur ses employĂ©s ne doivent comporter que des Ă©lĂ©ments pertinents et non excessifs. Les employĂ©s ont le droit d’y accĂ©der. Qui peut avoir accĂšs aux donnĂ©es ? Un accĂšs limitĂ© Seules les personnes intervenant dans le processus de recrutement peuvent accĂ©der aux informations d’un can- didat. Outre les administrations informĂ©es de l’embauche exemple assurance chĂŽmage, maladie, retraite, mutuelle
, seules les personnes chargĂ©es de la gestion du personnel peuvent consulter les informations des employĂ©s. Les supĂ©rieurs hiĂ©rarchiques peuvent accĂ©der aux informations nĂ©cessaires Ă  l’exercice de leurs fonctions exemple donnĂ©es d’évaluations, rĂ©munĂ©ration
. L’employeur ne peut rĂ©vĂ©ler les coordonnĂ©es personnelles d’un employĂ© que si la loi ou une dĂ©cision de justice le prĂ©voit ex. mĂ©decin contrĂŽleur de la sĂ©curitĂ© sociale, huissier disposant d’un titre exĂ©cutoire
. Les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel ont accĂšs aux donnĂ©es figurant dans le registre unique du personnel nom, nationalitĂ©, fonction occupĂ©e, date d’entrĂ©e dans l’organisme, etc.. Les autres instances ComitĂ© d’entreprise, dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux peuvent obtenir certaines informations pour exercer leurs missions. Par exemple, l’employeur peut transmettre au ComitĂ© d’entreprise CE, aprĂšs information des employĂ©s, des donnĂ©es sur ceux qui ne s’y sont pas opposĂ©s. Ces in- formations permettront au CE de proposer des activitĂ©s et des prestations adaptĂ©es. Les organisations syndicales peuvent, aprĂšs accord avec l’employeur, adresser aux employĂ©s des messages d’information syndicale par courrier Ă©lectronique. Les employĂ©s peuvent s’y opposer Ă  tout moment. Un accĂšs contrĂŽlĂ© L’employeur doit assurer la sĂ©curitĂ© des informations et garantir que seules les personnes habilitĂ©es en prennent connaissance. Les actions sur les donnĂ©es effectuĂ©es par les personnes habilitĂ©es doivent ĂȘtre enregistrĂ©es savoir qui se connecte Ă  quoi, quand et pour faire quoi. Quelles garanties pour la vie privĂ©e ? Le droit d’ĂȘtre informĂ© L’employeur doit informer les instances reprĂ©sentatives du personnel avant d’utiliser des techniques d’aide au recrutement ou des fichiers de gestion du personnel. Candidats comme employĂ©s doivent ĂȘtre informĂ©s de l’identitĂ© du responsable du fichier cabinet de recrutement ou service des ressources humaines, de l’objectif poursuivi gestion des candidatures ou gestion du personnel, de la base lĂ©gale du dispositif obligation issue du code du travail par exemple, ou intĂ©rĂȘt lĂ©gitime de l’employeur, du caractĂšre obligatoire ou facultatif des rĂ©ponses ainsi que des consĂ©quences Ă  leur Ă©gard d’un dĂ©faut de rĂ©ponse, des destinataires des informations autres cabinets de recrutements, par exemple, de la durĂ©e de conservation des donnĂ©es, des conditions d’exercice de leurs droits d’opposition pour motif lĂ©gitime, d’accĂšs et de rectification, de la possibilitĂ© d’introduire une rĂ©clamation auprĂšs de la CNIL. Aucune information concernant un employĂ© ne peut ĂȘtre collectĂ©e par un dispositif qui n’a pas Ă©tĂ© prĂ©alablement portĂ© Ă  sa connaissance. Le droit d’accĂšs d’un candidat Ă  un emploi et d’un employĂ© Sur simple demande et sans avoir Ă  la motiver, un candi- dat ou un employĂ© peut obtenir une copie des donnĂ©es qui le concernent recrutement, historique de carriĂšre, rĂ©munĂ©ration, Ă©valuation des compĂ©tences, dossier disciplinaire
. Les valeurs de classement annuel ou de potentiel de carriĂšre sont communicables lorsqu’elles ont servi Ă  prendre une dĂ©cision. Une durĂ©e de conservation limitĂ©e En cas d’issue nĂ©gative Ă  une candidature, le recruteur devra informer le candidat qu’il souhaite conserver son dossier, afin de lui laisser la possibilitĂ© d’en demander la destruction. Si un candidat ne demande pas la destruction de son dos- sier, les donnĂ©es sont automatiquement dĂ©truites 2 ans aprĂšs le dernier contact. Seul l’accord formel du candidat permet une conservation plus longue. Les donnĂ©es relatives Ă  un employĂ© sont conservĂ©es le temps de sa prĂ©sence dans l’organisme. Une fois l’employĂ© parti, certaines informations doivent ĂȘtre conservĂ©es par l’employeur sur un support d’archive par exemple, 5 ans aprĂšs le dĂ©part du salariĂ© pour les bulletins de paie. Quelle formalitĂ© ? Si l’employeur a dĂ©signĂ© un DĂ©lĂ©guĂ© Ă  la protection des donnĂ©es DPO, il doit ĂȘtre associĂ© Ă  la mise en oeuvre de tous ces fichiers. Les diffĂ©rents fichiers de recrutement ou de gestion du personnel doivent ĂȘtre inscrits au registre des activitĂ©s de traitement tenu par l’employeur. Quels recours ? En cas de difficultĂ©, vous pouvez saisir le service des plaintes de la CNIL, en cas de difficultĂ©s pour accĂ©der Ă  votre dossier personnel, de collecte excessive ou de dĂ©faut de sĂ©curisation des donnĂ©es, les services de l’inspection du Travail. le procureur de la RĂ©publique Les textes de rĂ©fĂ©rence Le code civil Article 9 protection de l’intimitĂ© de la vie privĂ©e Le code du travail Article L1121-1 droits et libertĂ©s dans l’entreprise Article L1222-3 et L. 1222-4 information des employĂ©s Article L2323-32 information/consultation du comitĂ© d’entreprise Le code pĂ©nal Articles 226-1 et suivants protection de la vie privĂ©e Articles 226-16 et suivants atteintes aux droits des personnes rĂ©sultant des traitements informatiques La loi du 6 janvier 1978 Le RĂšglement europĂ©en sur la protection des donnĂ©es
Deplus, il faut que le bulletin de salaire dĂ©matĂ©rialisĂ© soit conservĂ© cinq ans par l’employeur. Pour le salariĂ©, la durĂ©e est illimitĂ©e. Pour le salariĂ©, la durĂ©e est illimitĂ©e. Enfin, le passage au tout numĂ©rique implique une phase de double diffusion (papier et Ă©lectronique) en fonction des choix des salariĂ©s ce qui peut engendrer des coĂ»ts supplĂ©mentaires et une gestion ÉlĂ©ments de paieBase decalculPart salarialePart patronaleTauxMontantTauxMontantTraitement de base indiciaire 11 %1 IndemnitĂ© de rĂ©sidence 11 % SFT 11 Brut 1 Cotisation vieillesse totalitĂ© 21 Cotisation vieillesse rĂ©gime gĂ©nĂ©ral1 Cotisation allocations familiales1 FNAL - 20 salariĂ©s1 accident du travail1 vieillesse totalitĂ©1 vieillesse rĂ©gime gĂ©nĂ©ral1 maladie rĂ©gime gĂ©nĂ©ral1 solidaritĂ© autonomie1 dĂ©ductible 98,25 %1 Cotisation Ircantec sans SFT 21 PĂŽle emploi 31 CNFPT1 additionnelle centre de gestion1 obligatoire centre de gestion1 non dĂ©ductible 98,25 %1 CRDS non dĂ©ductible 98,25 %1 Informel'employeur de ton expĂ©rience. Partagez votre expĂ©rience SALARIUM recrute pour des postes: consultant. ResponsabilitĂ©s. etablissement des bulletins de paie ; etablissement des

Bulletin 8-4 - Participation employeur santĂ© ou/et prĂ©voyance titulaire CNRACL CollectivitĂ© + 20 agents FNAL Ă  0,50 % et pas d’indemnitĂ© de rĂ©sidence Participation employeur 15 € bruts par mois versĂ©e directement au fonctionnaire TitulaireTemps completRĂ©dacteurIM 377NBI 10ZR 31er au 31/07/2016 Resp. serv. populationSFT 2 ÉlĂ©ments de paieBase de calculPart salarialePart patronaleTauxMontantTauxMontantTraitement de base Nouvelle bonification SupplĂ©ment familial de traitement2 IndemnitĂ© de fonction Trannsfert primes/points Cat. B Participation employeur prĂ©voyance 15 € bruts versĂ©s Ă  l’agent Brut Cotisation allocations familiales TIB + NBI FNAL + 20 salariĂ©s maladie rĂ©gime solidaritĂ© dĂ©ductible 2 267,91 - 15 x 98,25 % + 98,25 % bruts + 100 % part employeur prĂ©voyance 2 Cotisation CNRACL sur TBI et RAFP plafond 20 % TIB 7 ATIACL 5 de solidaritĂ© chĂŽmage 6 Cotisation obligatoire centre de additionnelle centre de santĂ© centre de imposable brut - cot. 3 PrĂ©voyance complĂ©mentaire 1 Titres-restaurant 4 Contribution sociale gĂ©nĂ©ralisĂ©e non dĂ©ductible 2 CRDS 2 Total des retenues HeuresBrutAv. en natureNet fiscalNet imposableNET À € 3 1 PrĂ©voyance complĂ©mentaireAgent a choisi de cotiser Ă  raison de 1,20 % du TIB + cotisation ne sera pas dĂ©ductible du revenu imposable car adhĂ©sion employeur considĂ©rĂ©e comme un complĂ©ment de salaire par l’Urssaf voir fiche 2-2/11 car adhĂ©sion facultative des agents, mĂȘme si convention de ici 15 € versĂ©s directement Ă  l’agent entre donc dans la base soumise Ă  cotisations sociales pour un fonctionnaire CNRACL, CSG et CRDS sans d’assujettissement au forfait social qui a remplacĂ© la taxe de prĂ©voyance de 8 % car adhĂ©sion individuelle facultative des agents et donc soumis Ă  toutes les cotisations et contributions.Attention certaines Urssaf considĂšrent que la participation employeur est exonĂ©rĂ©e de charges, mais elle devient alors soumise au forfait social chaque agent peut choisir d’adhĂ©rer, donc thĂ©oriquement pas d’exo..2 CSG/CRDSL’assiette intĂšgre le brut sans la participation prĂ©voyance avec abattement + participation employeur Ă  la prĂ©voyance ici 15 € sans abattement 2 252,91 € x 98,25 % + 15 € = 2 228,48 €. 3 Net imposablePart agent au titre de la prĂ©voyance non dĂ©ductible du revenu imposable car adhĂ©sion participation de l’employeur ici 15 € bruts – CSG dĂ©ductible est considĂ©rĂ©e comme un complĂ©ment de salaire et rentre donc dans la base imposable. 4 Titres-restaurantLa collectivitĂ© alloue des titres-restaurant dans les limites paie sa part dĂ©duit sur bulletin de d’impact sur net imposable ni sur dĂ©passement participation employeur au-delĂ  60 % valeur ticket et/ou plafond montant autorisĂ© considĂ©rĂ© comme complĂ©ment salaire et soumis Ă  cotisations et impĂŽt voir fiche 2-2/10. 5 ATIACLAssiette TIB uniquement – pas la NBI. Taux 0,4 % Ă  compter du 6 FDS fonds de solidaritĂ©Assujettissement si TIB + NBI + IR - cotis. CNRACL - RAFP sur IR > traitement correspondant Ă  l’IM 309 1 439,35 € au 1er jjuillet 2016 1 756,09 + 46,58 - 179,19 - 17,56 = 1 605,92 > 1 439,35 donc de prise en compte de la part patronale dans l’assiette considĂ©rĂ© comme prestation sociale rĂ©ponse FDS.Cotisation salariale prĂ©voyance non dĂ©ductible de l’ brut - participation employeur prĂ©voyance facultative - cotis. CNRACL - cotis. RAFP 2 267,91 - 15 - 179,19 - 17,56 = 2 056,16 7 RAFPL’assiette correspond Ă  l’ensemble des Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©ration soumis Ă  CSG perçus au cours de l’annĂ©e civile et non soumis Ă  cotisation RAFP indique que la participation employeur entre dans l’assiette si elle est versĂ©e Ă  l’agent, ce qui est le cas dans cet exemple, dans la limite de 20 % du TIB. CollectivitĂ© + 20 agents FNAL Ă  0,50 % et pas d’indemnitĂ© de rĂ©sidence Participation employeur 15 € nets versĂ©e directement au fonctionnaire TitulaireTemps completRĂ©dacteurIM 377NBI 10ZR 31er au 31/07/2016 Resp. serv. populationSFT 2 ÉlĂ©ments de paieBase decalculPart salarialePart patronaleTauxMontantTauxMontantTraitement de base Nouvelle bonification SupplĂ©ment familial de traitement2 IndemnitĂ© de fonction Transfert primes/points Cat. B Participation employeur prĂ©voyance 15 € nets versĂ©s Ă  l’agent rĂ©intĂ©gration charges salariales soit 8 % CSG/CRDS Brut Cotisation allocations familiales TIB + NBI FNAL + 20 salariĂ©s maladie rĂ©gime solidaritĂ© dĂ©ductible 2 269,21 - 16,30 x 98,25 % +16, 98,25 % bruts + 100 % part employeur prĂ©voyance 2 Cotisation CNRACL sur TBI et RAFP plafond 20 % TIB 7 ATIACL 5 de solidaritĂ© chĂŽmage 6 Cotisation additionnelle centre de santĂ© centre de obligatoire centre de imposable brut - cot 3 PrĂ©voyance complĂ©mentaire 1 Titres-restaurant 4 Contribution sociale gĂ©nĂ©ralisĂ©e non dĂ©ductible 2 CRDS 2 Total des retenues HeuresBrutAv. en natureNet fiscalNet imposableNET À € 8 3 1 PrĂ©voyance complĂ©mentaireAgent a choisi de cotiser Ă  raison de 0,9 % du TIB + cotisation ne sera pas dĂ©ductible du revenu imposable car adhĂ©sion employeur considĂ©rĂ©e comme un complĂ©ment de salaire par l’Urssaf voir fiche 2-2/11 car adhĂ©sion facultative des agents, mĂȘme si convention de ici 15 € nets soit 16,30 € brut versĂ©s directement Ă  l’agent entre donc dans la base soumise Ă  cotisations sociales pour un fonctionnaire CNRACL, CSG et CRDS sans d’assujettissement au forfait social qui a remplacĂ© la taxe de prĂ©voyance de 8 % car adhĂ©sion individuelle facultative des agents et donc soumis Ă  toutes les cotisations et contributions. 2 CSG/CRDSL’assiette intĂšgre le brut sans la participation prĂ©voyance avec abattement + participation employeur Ă  la prĂ©voyance ici 15 € nets reconstituĂ©s en bruts soit 8 % CSG/CRDS reprĂ©sentent 16,30 € sans abattement 2 252,91 € x 98,25 % + 16,30 € = 2 229,78 €. 3 Net imposablePart agent au titre de la prĂ©voyance non dĂ©ductible du revenu imposable car adhĂ©sion participation de l’employeur ici 16,30 € bruts est considĂ©rĂ©e comme un complĂ©ment de salaire et rentre donc dans la base imposable. 4 Titres-restaurantLa collectivitĂ© alloue des titres-restaurant dans les limites paie sa part dĂ©duit sur bulletin de d’impact sur net imposable ni sur dĂ©passement participation employeur au-delĂ  de 60 % valeur titre et/ou plafond montant autorisĂ© considĂ©rĂ© comme complĂ©ment salaire et soumis Ă  cotisations et impĂŽt voir fiche 2-2/10. 5 ATIACLAssiette TIB uniquement – pas la NBI. Taux 0,4 % Ă  compter du 01/01/2013. 6 FDS fonds de solidaritĂ©Assujettissement si TIB + NBI + IR - cotis. CNRACL - RAFP sur IR > traitement correspondant Ă  l’IM 309 1 439,35 € au 1er juillet 2016 1 756,09 + 46,58 – 179,19 – 17,56 = 1 605,92 > 1 439,35 donc de prise en compte de la part patronale dans l’assiette considĂ©rĂ© comme prestation sociale rĂ©ponse FDS.Cotisation salariale prĂ©voyance non dĂ©ductible de l’ brut - participation employeur prĂ©voyance facultative - cotis. CNRACL - cotis. RAFP 2 269,21 - 16,30 - 179,19 - 17,56 = 2 056,16 7 RAFPL’assiette correspond Ă  l’ensemble des Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©ration soumis Ă  CSG perçus au cours de l’annĂ©e civile et non soumis Ă  cotisation RAFP indique que la participation employeur entre dans l’assiette si elle est versĂ©e Ă  l’agent, ce qui est le cas dans cet exemple, dans la limite de 20 % du TIB. 8 NET A PAYERDans ce cas, le net Ă  payer est infĂ©rieur de 1,20 € qui correspond aux charges sociales sur la participation de l’employeur 8 % sur la diffĂ©rence de 1,30 € brut.Cas ci-dessus 15 € 15 € nets soit 16,30 € bruts.

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conservation des bulletins de salaire par l employeur